Elles sont à l’affiche des projets les plus excitants du moment, et ont en commun une passion (raisonnable) pour la joaillerie. Florilège.
Après De Grâce, la série Machine t’offre un nouveau rôle tragique.
Margot Bancilhon : C’est, je crois, davantage mon ADN que la comédie.
Le réal Fred Grivois a écrit le rôle pour toi ?
Il s’est demandé qui allait être assez fou pour accepter et incarner ce rôle. Or, il savait que s’il me demandait de sauter d’un immeuble de sept étages, je le ferais. Je fais toutes les cascades. On a co-créé l’identité psychique du personnage, mais aussi son identité visuelle.
Si tu avais perdu du poids pour incarner Emma (De Grâce), tu as dû prendre de la masse musculaire pour Machine. Ta préparation physique ?
Un an avant le début de la série, je me suis entraînée avec un coach de boxe thaï. J’ai aussi été formée aux cascades.
Quelles ont été les références du réal pour Machine ?
J’ai regardé les Bruce Lee – en accéléré, parce que je n’accroche pas… Equalizer avec Denzel Washington, et Atomic Blonde.
Passer de la choucroute en boîte mangée à la grosse cuillère dans Machine à porter des Gas bijoux sur un shoot – ton rapport à la mode ?
J’aime ce grand écart. C’est la chance d’être comédienne !
La suite ?
Je coécris une série avec Fred Grivois.
Entretien Alexis Lacourte
Photos Axel Vanhessche