À l’affiche des ovnis Poissonsexe et Mandibules, la comédienne sera bientôt Une jeune fille qui va bien.
Poissonsexe aborde la question de la relation entre l’humain et la nature. C’est un film engagé ?
India Hair : C’est un film qui nous force à regarder notre futur. Il est très complet car sa direction artistique raconte aussi tout ça : les costumes, les décors, les dialogues se complètent.
En 2013, tu étais déjà sélectionnée dans la catégorie Espoirs aux Césars. Ce qui a changé depuis ?
Tout ! Je sortais tout juste du Conservatoire et je n’avais jamais travaillé avant. C’est un film (Camille Redouble) qui m’a donné beaucoup de visibilité …
L’année 2020 a été un grand chamboulement pour l’industrie. Comment imagines-tu l’après?
J’espère que ça va donner un cinéma plus exigeant, que les choix des producteurs et des distributeurs vont aller vers la créativité, la rencontre de nouveaux artistes.
Et India Hair dans ce cinéma d’après?
Continuer à rencontrer des réalisateurs qui ont la nécessité de faire ce qu’ils font et participer à leur œuvre d’art.
Une jeune fille qui va bien de Sandrine Kiberlain
Entretien : Adèle Chaumette
Photo : Emma Birski