La comédienne Lisa Do Couto Teixeira, 22 ans, est la grande révélation de la série Netflix Loups-garous. Elle est passée nous confier ses secrets beauty…
Tu partages tes lectures avec ta communauté sur Insta. D’où te vient cet attrait pour la littérature ?
Lisa Do Couto Teixeira : De ma mère. Lorsqu’elle a immigré du Portugal, la littérature l’a beaucoup aidée pour apprendre le français. Elle nous a toujours poussés à lire pour que l’on s’exprime bien et que l’on développe notre côté créatif.
Tu as fait du théâtre très jeune et tu as suivi une formation aux cours Florent…
J’ai plusieurs moyens d’expressions, mais je pense qu’avoir la liberté de choisir ses textes et ce que l’on veut défendre en théâtre, c’est une façon pour moi de porter plusieurs voix.
Tu as commencé le mannequinat à quinze ans, une volonté de ta part ?
Ma meilleure amie à l’époque voulait s’inscrire en agence, mais n’osait pas le faire toute seule. Donc je l’ai accompagnée et j’ai été prise !
Tu joues dans la série Loup-garous (Netflix) – aux côtés de Jean Reno, Franck Dubosc… – où tu incarnes Clara, une jeune influenceuse accro à son image, soudainement plongée avec sa famille dans l’époque médiévale. Es-tu, toi aussi, très pointilleuse quant à ton apparence ?
Franchement, je ne me maquille pas beaucoup… tout simplement parce que je ne sais pas très bien le faire !
Tu as une petite routine quand même ?
Juste mes sourcils, que je dessine un peu avec un crayon, puis mon teint, et du Labello…
Ton produit phare ?
Le blush ! L’effet « je viens de prendre le soleil », j’adore. En ce moment, j’utilise un Fenty ou un Morphe.
Le produit que tu utilises le plus ?
Du baume à lèvres, ou un anti-cernes, ce sont mes incontournables !
Tu travailles sur quoi en ce moment ?
Cela fait un an que je suis en période d’écriture. Je travaille sur un scénario, sur ma famille.
Ton rôle de rêve ?
J’aimerais beaucoup jouer un biopic, afin d’étudier le personnage de quelqu’un. Je serais prête à complètement me transformer si besoin. J’aurais beaucoup aimé faire Nina Simone. L’appel est lancé !
Par Léa Guillonnet
Photo Axel Vanhessche